Philosophie occidentale: Femmes

Publié le par Joe Pecsi

J'écrivais il y a peu que l'homme s'en va au printemps, revient avant l'hiver pour le passer au chaud, puis retourne en saison, au printemps.
C'est d'autant plus vrai dans les sociétés occidentales où printemps rime avec déraison.
Si ce sentiment naturel de vouloir profiter du beau temps se manifeste au printemps,chasseurs je me demande si il n'est pas le synonyme de cet instinct vitale de chasseur.
Quand on vit à la campagne, le printemps prends une dimension spéciale, pour peu que vous fassiez parti de ces gens qui appréciez contempler les effets du temps sur la nature.
Au printemps, les choses changent, les hommes deviennent fou et partent en chasse, mais la chasse à changé, c'est désormais un tout autre instinct qui les animent, même si je considère ce dernier comme secondaire dans le sens vitale, la procréation.
Au printemps, les fleurs poussent, les sens humains s'émancipent, les instincts prédateurs resurgissent, c'est tout un monde qui se remet en marche comme après cette impression d'avoir hiberné.
Au printemps, le monde respire la vie, et si de ses effets nous sommes séduit, que peut-on dire des effets de l'été si ce n'est, provocant, tapageur, ravageant, dévastateur, brûlant.
danse-sept-voiles-L-3.jpegJe me demande quel est donc cette philosophie occidentale bizarre selon laquelle un homme, ne serait plus un homme, car au vu des fringues toujours plus provocantes de nos chères consœurs, les femmes, je me pose la question, les hommes sont-ils toujours des hommes?
Le printemps est une saison extraordinaire où séduction rime avec procréation et tentation avec perversion.
Je vous le dis, la démocratie et la liberté, j'adore, j'en suis un fervent défenseur, mais je crois sérieusement que les limites ont allègrement été dépassés, ce n'est plus de la séduction, c'est de la persécution, les femmes sont déshabillés, ou alors sont-elle presqu'à poil.aubade.jpg
Il y a peu je parlais avec ma femme de ce sujet, mais alors je me demandais ce qu'il pouvait rester à la lingerie féminine, nuisette, et toute la panoplie si finalement la mode tend à suggérer les mêmes idées et même désirs que ces derniers et ainsi faire disparaître ce qui pouvait encore distinguer la relation intime d'un couple de celle de la vie de tous les jours.
Puisque celles-ci ont décidé de mettre en valeur leur parfaite et divine sculpture de jour comme de nuit, je me suis demandé à quoi peut bien servir la lingerie si finalement au grand jour et aux yeux de tous, elles usent de ces tissus tout aussi provoquant mais aux seuls pronoms différents.
Je voulais demander a ces filles si elles préféraient qu'on les regarde dans les yeux ou peut-être ressentent-elles ce besoin inexplicable de savoir si elles plaisent?
Mais là encore, je me demande, veulent-elles attirer les hommes pour ce qu'elles sont physiquement ou par cet intellect finalement bien caché lui?299057-lecon-numero-9-detourner-la-637x0-3.jpg
C'est certes méchant et non galant à leur égard, mais c'est aussi important de rappeler que tout n'est pas possible au nom de la liberté ou de la démocratie, c'est se servir de ces mots à ses dépends, mais ils ne justifient en rien que les femmes tombent dans ce panneau de la beauté superficielle mais se débarrasser d'une conscience intellectuelle humaine refoulée.
Je m'interrogeais au sujet des hommes, à savoir s'ils étaient toujours eux-même, car supporter les conséquences de la vue, susciterai bien des vocations.
Un homme, reste un homme avant tout, les femmes peuvent dire ce qu'elles veulent, occident, 2010, évolution ou tout autres suppositions au fait qu'il serait sensé supporter cet appareil sans en  éprouver une quelconque émotion ou un quelconque désir est un leurre. L'homme est et à jamais demeure un homme, rien ni personne n'enlèvera le fait que les sens ont tout construit de ce monde, les voitures, les immeubles, tout est synonyme de l'édifice humain que seul la vue a rendu possible.
Et cela, je le dis à celles qui s'imaginerait rétorquer que les hommes n'ont qu'à bien se tenir, sans doute, et on y travaille d'ailleurs, même si pour nous, c'est un plaisir de pouvoir contempler l'œuvre divine de notre opposé, cela ne vous lave pas de tout soupçon maudit de générer l'un des premier blasphème, la tentation.
Cela dit, nous sommes conscient que ce phénomène, somme toute récent, est aussi le fruit d'une société toujours plus permissive mais surtout toujours plus libérée, c'est à se demander jusqu'où pouvons nous prétendre à repousser chaque jours un peu plus les limites.femmes-en-foulard-turque-classique1
C'est pour cette raison que nous nous contentons de dénoncer sans porter de jugement de valeur, l'effet de groupe y obligeant, nous voulons bien croire que se soustraire à ces phénomènes de mode parait chose facile à dire mais souvent moins facile à faire sans que dans votre entourage, se délient certains ou certaines de vos relations.
Nous mesurons là l'ampleur que cela représente pour les plus jeunes filles, mais ne dérogeons pas pour autant à insister auprès de nos femmes matures pour donner un exemple a suivre concernant les tenue vestimentaires et cela en toute modestie.
On parfois tendance a ne pas mesurer les conséquences à long terme d'une société libertaire, mais cela ne nous empêche pas non plus de regarder autour de soi pour constater ce nombre toujours plus croissant de famille mono-parentale. Mais si ce n'est pas à la télé que nous pouvons au moins attribuer ce mal, je me demande où et quand la vie de débauche a-t-elle été pour la première fois propagé, pour que jusque dans nos foyer et des plus jeunes demoiselles en air de lolitas ou de madonne de la beauté ont-elles été témoins.
Partout on entend qu'il n'y a plus de valeurs, mais des que l'on se permet de montrer du doigt au moins un mal de la société, on s'en prend directement aux grand mots de la liberté, démocratie ou de dictateur.
C'est une chose que d'etre un fervent défenseur des liberté individuelles et du message que notre prestance physique renvoie, le respect de soi-même est aussi une valeur sans limite, d'ailleurs la liberté pour les femmes, c'est aussi de choisir entre être bonne ou être belle.leve-le-voile.jpg
Du fait que ça les regarde, cela ne nous empêche pas de dire que leur liberté s'arrête aussi là où commence celles des autres, en d'autres termes, et cela nous regarde aussi, habillez vous convenablement s'il vous plaît mesdames.
C'est malheureux à entendre, mais croyez nous, c'est pour le bien de tous, c'est être raisonnable, c'est consentir à se plier à certaines règles de vie en communauté et d'empêcher toute provocation d'atteinte à la pudeur.
Si décadence et débauche sont des mots dont vous connaissez la définition, alors sautez le pas et rejoignez les résistants contre l'ordre mondialiste qui se fout bien des moeurs, l'argent, la beauté, le sex ne sont que les victimes d'un monde médiatique et manipulé sans valeurs morales, sans parler d'être une none, mais par principe, je réitère ce que ma Mère m'a enseigné.

En ces derniers temps de polémique sur la burqa en France, de cette pseudo lutte pour les libertés démocratiques occidentales, il y a cette photo qui coure un peu partout sur le net et qui selon moi résume assez bien les deux extrêmes que notre société endure.

On a d'un côté l'extrême de voir une femme complètement recouverte dont on n'aurait que le seul choix de regarder dans les yeux, puis on à cette femme d'un extrême aussi femme voilee nue editocomplètement nu mais dont on ne saurait regarder dans les yeux.

C'est assez représentatif de cette philosophie occidentale, selon laquelle la femme au nom de la liberté aurait ce choix et ce droit à toute sorte de tenue vestimentaire.

Je me demande alors parmi les deux extrêmes, laquelle des 2 femmes, choisirait une occidentale.

A n'en pas douter, nombreuse d'entre elles aujourd'hui ont choisi de ne pas être regardé dans les yeux.

L'exemple est assez extrême, il résume assez bien l'hypocrisie générale de celles et ceux qui se cachent derrière la bien pensance générale et médiatique, mais un peu de bon sens, n'est pas synonyme d'être has-been ou puritains, mais de loin, la décadence des moeurs passe aussi par l'image véhiculée de notre société, à commencer par le premier pécheur, la télé.

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