L'ignorance, la négation, l'évidence

  Pour que le yin et le yang à jamais demeurent.
Occidéontologues et Idéoccidéontologistes,
Où habitez-vous pour ne plus croire enfin que c'est la fin, la fin de l'idéoccideontologie.
Il est à jamais grand temps, de comprendre ce souffle nouveau si particulier de la fin de l'occidéontéologie, et de se rabattre, de tomber ces affreux masques qui nous séparent plus qu'il ne nous distinguent.
Cet intime conviction, la naïveté, qui nous dit que tout n'est pas fini, non, ce ne sera pas oeil pour oeil, dent pour dent, non,  les plombiers, ne seront plus tous des arnaqueurs, ni les garagistes, ni son voisin, ni son frère, sa soeur, sa mère ou son père.
Non, la suspicion éternelle ne durera pas, de démasquer quoi d'abord, quel ultime facette de l'autre pensiez vous croire démasquer, si ce n'est la vôtre.
Ah oui, c'est vrai, vous me parlez évidemment de cette occidéontologie, celle qui nous colle à la peau, un peu comme l'occidentale fait quand il pense rencontrer des gens venus d'ailleurs, il leur propose d'abord l'hospitalité, puis au fil du temps, se met à douter, puis se demande pourquoi l'invité reste autant puis lui fais savoir sans jamais le lui dire, qu'il doit à présent s'en aller.
Non point de se sentir coupable d'être non seulement hostile, mais aussi d'être rattaché à cette idée qu'être occidental suffirait à être une notion véritable de laquelle vous seriez malheureusement et physiquement identique comme un mauvais germe.
L'homme blanc occidentale persécuté de ses démons à tout jamais sans doute, même si la croyance en France laisse à désirer, si celle du choix, de la démocratie né de l'idéoccidéontologie, ne nous amène à rien d'autre que de se nier. Puisque idéologie né de l'homme duquel il s'octroie le droit de pouvoir choisir si il est croyant, ou pas. Démoncratie.
Assistons-nous pour autant à la fin sûpreme de cette dernière?
Oui et pour n'en pas douter, c'est qu'au fond,  chacun des nôtres aura raison de ses actes, et chacun verra cette vérité partir en fumée comme un moment exquis dont on ne saurais savourer l'intensité, celle d'être frappé de stupeur face à tant d'évidences que l'on s'obstine à nier tellement la vérité ferait mal, mais quel vérité au juste, celle du combat éternel entre le noir et le blanc, entre le bien et le mal, finalement?
Occidéontologiquement, l'homme blanc serait censé incarné le mal, même si selon lui, tous les hommes naissent égaux et qu'idéologiquement, il n'y aurait qu'un seul Dieu.
Un truc du genre, me fais pas chier avec tes soucis de différences, déjà qu'on doit traîner ce fardeau d'occidéontologie du nazisme puis de l'esclavagiste, je veux bien porter nombres de croix, mais je n'en veux point d'autres. Alors s'il te plaît, porte la tienne cesse de m'essouffler.

J'en peux plus, c'est trop lourd, je vais craquer, mais que j'y pense, je vois que tu n'en porte qu'une, voudrait-tu m'aider à parcourir un petit bout de chemin?
Non, tu sais, moi j'ignore quelles sont les croix que tu porte là mon ami, mais s'y j'étais toi, je les déposerais, qui défends-tu au juste?
Je l'ignore, cela s'appelle l'occidéontologie, disons, sa mémoire.
Je vois, mais cela concerne tes ancêtres, pas les miens, de plus je vois que nos ancêtres ont déjà été en conflit avec les vôtres et il semblerait que nous soyons votre salut, la diversité.
Mais dîtes-moi, est-ce là votre dernier combat, celle du représentatif, du yin et du yang, du blanc et du noir, un monde où le salut du métissage du yin et du yang serait comme la vérité unique et divine de l'idéoccideontologie.
  Mais au fait, que représente le yin et le yang?
Mais que restera-il de cette idéoccidéontologie, si ce n'est l'enfant métisse mais malgré tout porteur de ce virus, occidentale, le sionisme, père fondateur de l'idéoccidentologie, cauchemar de ce que la scientologie à donner comme pouvoir aux neuros-chirurgiens des plus grandes médecines scientifiques, la force sûprematique, empirique et maléfique.
Nul besoin d'affirmer que non, le métissage, ne sera pas notre salut, (disons qui c'est, dans des millénaires, peut-être, mais dans des décennies, certainement pas), il est une évidence que le monde à connus ces dernières décennies un flux migratoire de population en tout point du globe, qui n'est pour le fruit presqu'entier d'affamés et de cannibales, du capitalisme!
Nul besoin de parler de cette intime conviction que l'occidental ne peut se résigner qu'à croire, qu'il périra  avec les démons de l'ultime et dernière guerre, celui qui'il croit être le but d'une vie à accomplir à tout prix, un peu comme ce slogan duquel on se rattache pour toujours mieux se pardonner: "On a qu'une vie".

Et même si cela vrai, cela justifie-t-il tout nos actes?

Malheureusement faire la morale à toutes les personnes dont on s'imaginerait croire comme l'enfant de Judas ne mènerait à rien, mais qu'au moins dénoncer l'occidéontale femelle laissant le soin occidéontologuement galant de leur laisser seuls porter le fardeau de l'épouvante de ce passé, dont elles en pensent néanmoins conjurer le sort, peut-être au nom de leur égalité dont occidéontologiquement nous aurions manquer d'appliquer, évidemment pour certaines femmes, elles ne sauraient nier l'évidence du lourd passé de la France, que seule une réelle complémentarité aurait pu bâtir, peut-être même celle du yin et du yang, celle d'une tradition française longuement perpétré, et si les plus grandes capitales Européennes n'ont plus lieu d'être attribuée par leur architecture aux occidentaux, alors, depuis quand l'homme et la femme ont-ils cessé de porter leur croix? Pour s'apercevoir que depuis des décennies, le progrès que nous estimons êtres des plus grand n'est rien en comparaison de ce que nos ancêtres ont pu endurer.
Faudra-t-il un siècle de plus ou quelques années pour se rendre compte de l'évidence de ces hommes qui ont bâti des ponts et merveilles ne possédant même pas 1/10 ème de ce que nous possédons aujourd'hui et pourtant, c'est nous aujourd'hui qui nous vantons de ce progrès mais que nous ne sommes même pas capable de bâtir 1/10ème de ce qu'ils ont pu bâtir, il y a pas si longtemps encore, la foi régnait malgré tout comme un vœux pieu sans parler d'être pratiquant.
Au front, dans la guerre, nous ne nierons pas non plus l'évidence de celles et ceux qui abandonnèrent aux seuls mâles blancs l'idéoccidéontologie du mal où l'orgie pouvait être comparé aux armes de destruction massive, celle de l'idéologie d'une race supérieure, puisque malheureusement, au dessus de nos têtes ce sont bien des armes de destructions massives qui nous menacent, il est une question de jours avant que Le Président Français ne s'autorise à parler en notre nom, celui du peuple Français, et ainsi fourvoyer le monde dans un K.O, peut-être même à ce microscopique état de poussière que l'univers eût porté comme son enfant, celui de porteur du virus, le mal et  le bien, l'homme et la femme, la droite et la gauche, le jour et la nuit, le printemps et l'automne, la mort et la vie.
Oseriez-vous nier qu'il y à ce petit quelque chose qui vous animent et qui vous dit que ce n'est pas normal, jamais, ô non, jamais, nous les occidentaux n'aurions dû cesser de croire, et jamais nous aurions dû croire que la liberté occidéontologiquement sioniste puisse être le salut de l'homme.
Il y à désormais ceux qui nient l'évidence, ceux qui l'ignorent et ceux qui la savent, de quelle catégorie faisons-nous partie?
La Fin du règne idéologique est arrivé, chacun dans sa tanière, renvoyés à l'antre de nous même, renvoyé au sombre obscur de la domination de l'empire, éclosent nos âmes, éclairent nos routes, la fin de cet aveuglement sournois qui ne nous laissait plus que dans les hautes sphères du dérèglement de nos hormones naturelles, la maladie mentale d'être conscient du pire et devoir en vain l'ignorer, nous croyons en toi seigneur tout Puissant, nous t'adorons, t'idolâtrons et te demandons pardon de tout le mal dont on ne serait faire.
Dans la dernière ligne droite, ne serons-nous que trop "peu" assez ou  pas assez.
Quand notre heure viendra, serons-nous assez intelligent pour se ranger du bon côté ou peut-être préférerons-nous nier ce qu'il nous conviendrait d'ignorer niant au mieux l'évidence qu'il n'y aurai plus que trois choix, l'évidence, le négationnisme ou l'ignorance, ce qu'ici rend en évidence que l'idéoccidentologie ne réponds à aucune de nos questions métaphysique, hormonales, tribales ou vitales, celui du mystère de la vie se résumant occidéontologiquement comme le choix de croire en Dieu, ou de ne pas y croire, et de s'accaparer de cette idée sans laquelle l'homme qui aurait d'abord émis le doute qu'effectivement, nous sommes le caca de ce monde duquel nul n'aspire ici puisque indépendamment de la volonté de quiconque ce qui nous mets de facto devant l'évidence encore que nul homme n'a de droit de vie ou de mort au nom de quiconque autre, ne nous obligent pas non plus à ne pas dire que face à l'évidence la voie de l'ignorance ne saurait nous pardonner si encore que vous n'ayez pas encore compris que nous ne voulons pas la guerre, nous ne nions pas l'ignorance, mais il est une évidence que nous ne voulons pas la guerre, alors pourquoi le nier?
Des lois occidéontologues auxquelles vous aspirez , vous donnent t-il le droit de parler en notre nom et de blâmer ainsi la loi divine de cette équilibre, en criant à Dieu, à la voie de l'ignorance en d'autre termes, mais malgré tout, permettez nous d'avoir intimement foi en cette bassesse de la pauvre petite misérable vie de l'homme dans laquelle, il y aura toujours des bons et des méchants, nous décidons d'exister au moins parce qu'il est une évidence qu'ici chacun aspire à se construire une vie propre et évidemment faire partie des bons. Nous considérons qu'au moins au Nom De Dieu, divin créateur des terres et des mers, des peuples et des frontières, qu'au moins au nom de nos enfants qui, s' ils survivent physiquement, nous ne leur souhaitons nullement de périr de l'intérieur, autrement dit la voie du négationnisme, et au moins qu'au Nom du Saint Esprit, lequel tout homme a au moins intérêt à respecter, même incroyant que nous pourrions être, puisqu'il serait malhonnête de se rappeler qu'une fois au moins le choix nous à été donné et de toute évidence, c'est la parole intime qui malgré tout, en tant qu'homme de bon sens et de     cohérence s'engagerait à suivre, du moins si l'homme se respectait lui-même, car à l'approche de notre heure, chacun se rappellera alors de qui dépends sa vie si ce n'est de ce mystère inéluctable duquel nous assistons tous au déclin les yeux biens grand ouverts, mais le jour prochain, vos yeux seront bien grand fermés et vous invoquerais le Tout-Puissant face à l'inébranlable passage de l'état de la vie à la mort.